Alors alors c’est bien ?

Publié le par Roitelet

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L’éternel débat ! D’un côté on vous dit que c’est la vie de rêve, tout le monde s’occupe de vous et vous êtes le petit Roi. De l’autre on vous affirme que ce n’est pas une vie d’être tous seul. Alors qui croire ? Je vais essayer de vous décrire la manière dont je l’ai vécu mais il ne faut pas perdre de vu que ce n’est que mon vécu, nous le vivons tous différemment.

C’est nul d’être fils unique t’es toujours tout seul ! Hum j’aurais envie de répondre oui et non … Nous voilà bien avancé me direz-vous ! Il y’a de nombreuses fois où j’aurais bien voulu avoir un petit (Ou un grand) frère, pour pouvoir jouer aux Lego, aux Playmobiles ou à n’importe quel autre jeu. Il y’a de nombreuses fois où j’ai regretté de ne pas avoir un petit frère rien que pour le plaisir de le taquiner comme le font les frères et sœurs et comme je les voyais faire. Il y’a de nombreuse fois où, en grandissant j’aurais voulu avoir quelqu’un avec qui parler, avec qui partager. Oui mais voilà, je n’en tire pas que du négatif, au contraire je pense qu’avoir vécu avec des adultes en permanence m’as permis d’être mature plus rapidement que d’autres enfants. Mais là encore ce n’est pas qu’un avantage car on se retrouve vite décalé par rapport à ses copains, on ne possède pas les mêmes centre d’intérêt aux mêmes moments. Pour résumer je dirais que ça a été un handicap avant le collège et qu’à partir de la 5e  ça m’a plutôt aidé. Les adultes me prenaient  plus facilement au sérieux et je m’en sortais plutôt bien dans les conversations.

 

Courage vous en avez fait la moitié

Les enfants unique sont des pourri-gâtés ! Si il y’a une remarque que l’on m’a bien fait c’est celle-ci, mais là encore j’ai envie de vous répondre oui et non. C’est sur j’ai été gâté, plus que les autres ? Peut-être, surement même. Je n’ai jamais eu à me plaindre de ce côté-là, j’avais régulièrement des petits paquets sur mon lit, je n’ai jamais manqué de rien. Mais je pense que c’est à chacun de reconnaitre sa chance et de ne pas en abuser. J’ai toujours été reconnaissant à ce niveau-là et je n’ai, il me semble, jamais réclamé. Je pense que c’est très important de faire comprendre cette chance que l’on a, sans quoi on se retrouve vite avec le stéréotype de l’enfant unique capricieux, insatisfait enfin celui que l’on a envie de claquer J.

 

Ma vie d’enfant unique n’as pas été trop difficile à vire, j’ai été le petit enfant gâté que l’on décrit souvent mais mes parents ont su fixer un cadre qui me semble être indispensable. J’ai également été le petit garçon mature un peu plus rapidement que les autres et je me suis au final assez vite retrouvé avec des amis enfants unique ou qui avaient des frères et sœurs bien plus âgés. Au final on pourra retenir de ce premier pavé que j'ai une avis plutot favorable de la vie d'enfant unique.

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V
<br /> Tu sais maintenant enfant unique ou pas... je trouve que les enfants sont tous un peu pourris, gâtés... les miens en premier... On veut qu'ils se sentent bien, comme les copains, alors c'est un peu<br /> la surenchère pour les anniversaires, les fêtes, Noël, et ensuite on s'aperçoit qu'ils ont tout, mais que rien ne les intéresse...<br /> Alors, il faut trouver la juste mesure... pas facile-facile...<br /> <br /> <br />
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